Rencontre avec Jérôme Coppel : un champion dans le peloton

Du ski de fond au vélo de haut niveau

Jérôme Coppel n’a pas toujours roulé sur deux roues. Avant d’être cycliste professionnel pendant dix ans, il a passé une décennie sur les skis, en tant que fondeur de haut niveau.
« Pour préparer les saisons de ski, on faisait beaucoup de vélo. J’ai pris goût aux courses en 2002 et 2003, avant de basculer totalement au cyclisme en 2004. »
Le sport, chez les Coppel, c’est une affaire de famille : son père était déjà cycliste de haut niveau à la fin des années 70.

Un palmarès impressionnant

Champion de France Juniors, Espoirs et Professionnels contre la montre, médaillé de bronze aux Championnats du Monde, 13ᵉ du Tour de France en 2011…
En dix années chez les pros, Jérôme a également enchaîné les victoires sur l’Étoile de Bessèges, le Tour du Doubs, le Tour de Murcie ou encore le Rhône Alpes Isère Tour. Et avec six participations au Tour de France, il sait ce que « gérer un effort » veut dire.

Toujours au cœur du vélo

Aujourd’hui, Jérôme transmet sa passion à travers ses centres d’entraînement cycliste indoor PowerWatts Switzerland et son école de formation PT Coaching Academy.
« Ce qui me motive, c’est de rester en forme et de rouler avec les membres, leur donner des conseils techniques et les aider à progresser. »
En parallèle, il est formateur pour les sports d’endurance et consultant pour RMC Sport, où il commente les grandes courses cyclistes.

Ambassadeur de la Transju’Cyclo

S’il connaît bien le vélo, Jérôme a aussi déjà goûté à la Transju’… version ski de fond, en 2023 !
Ce qui l’a convaincu de devenir ambassadeur de la Transju’Cyclo ? « Partager mon expérience sur des terres que je connais bien, avec une organisation au top. »
Le jour J, il sera sur le terrain pour prodiguer ses conseils techniques, physiques, nutritionnels et aider chacun à vivre la meilleure expérience possible. Et cette année, vous le retrouverez sur le parcours 70 km.

Les conseils de Jérôme pour les participants

👉 Avant la course : s’entraîner sur la distance et le dénivelé de l’épreuve au moins une fois par semaine, avec une à deux séances spécifiques.

👉 Le jour J : rester détendu, bien s’hydrater, commencer à s’alimenter rapidement et gérer son effort dès le départ.

👉 Après l’arrivée : boire, manger, et pourquoi pas un massage ou un peu d’électro-stimulation pour accélérer la récupération.

La Transju’, bien plus qu’une course

Pour Jérôme, « La Transju’, c’est un mythe. » D’abord associée au ski de fond, l’organisation a élargi son horizon avec le trail et la cyclo. « C’est un gage de savoir-faire, de compétence, et une ambiance à la fois conviviale et sérieuse. »
Et pour convaincre les derniers hésitants à s’inscrire : « La Transju’Cyclo est accessible à tous, avec des parcours adaptés et même la possibilité de bifurquer si les jambes sont moins bonnes le jour J. Vous repartirez avec le sourire et des souvenirs plein la tête ! »